M ais quel est ce fluide qui me pousse
E t m'enivre des traces de toi ?
R enifler, humer, me rouler en douce,
C ramer le tissu encore en émoi.
R enaissante détrousse
E vidence du pourquoi
D éviance du drap-housse
I ndécence du tournoi...
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M ais quel est ce fluide qui me pousse
E t m'enivre des traces de toi ?
R enifler, humer, me rouler en douce,
C ramer le tissu encore en émoi.
R enaissante détrousse
E vidence du pourquoi
D éviance du drap-housse
I ndécence du tournoi...
Lune qui s'offre depuis mon lit,
obsède mes sens, mes rêveries.
le galbe blanc me surexcite,
je me transforme en alucite.
Un soir de lune
une aquarelle
j'aime tes dunes
et tes dentelles.
Tes regards sont
tout en cadence
j’effleure tes monts
ton éminence.
Non loin de Marcel et fanny,
Sels marins, sables dorés,
La mer tellement belle se lit,
Du fond des calanques marbrées.
Christian
Soleil, tu fuis,
éteindre le jour,
allumer la nuit,
troubadours,
jamais tu ne t’installes,
ne serait-ce qu'un instant,
tu ne fais pas d'escales,
tu fuis, insistant...